Mercredi 21 octobre 2015
La pierre, lien entre l’humain et le divin par Caroline Gindre,
astrologue, et tarologue, formée au décodage symbolique des mythes à L’université du Symbole. La kinésilogie et la géobiologie lui ont permis de développer une approche sensitive et intuitive des minéraux et de créer des exercices en utilisant les cristaux pour libérer les énergies bloquées.
De tous temps l’Homme a utilisé la pierre, que ce soit pour faire du feu, des armes, des bijoux... ou pour établir un lien avec le divin. Les minéraux et les cristaux sont aussi utilisés depuis l’Antiquité pour leurs propriétés guérisseuses.
Symboliquement, la pierre possède les qualités du divin : elle est inaltérable, éternelle et incorruptible. Peut-être est-ce pour cela que le Christ a dit « tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise », peut-être est-ce aussi parce qu'elle renvoie au travail intérieur, à l'image de la quête de la pierre philosophale des Alchimistes.
Or c'est également d'accomplissement qu'il s'agit avec le mot eben, pierre en hébreu, puisqu'il contient ab : le père déjà accompli et ben : le fils encore en devenir. Ainsi, comme l'artisan taille la pierre brute pour laisser apparaître sa forme essentielle, il est nécessaire d’épurer l'ego pour laisser advenir ce qui, en nous, pousse à être.
Mercredi 13 janvier 2016
Alchimie, le feu secret des sages, par Christine Dechartres
Géobiologue, alchimiste, Christine Dechartres s’est particulièrement intéressée à la cathédrale de Chartres sur laquelle elle a écrit 3 livres.
précieux qu'elle renferme dans son sein, faute de connoistre le feu secret des sages, qui fait couler de cette plante seiche et aride en apparence une eau qui ne mouille pas les mains. » Limojon de Saint-Didier
« Le Feu secret du Grand Œuvre, ne peut être découvert par la seule raison humaine et encore moins pas la chimie vulgaire » René Alleau
Le Feu Secret est le plus gardé des secrets en Alchimie !
Pourtant, il est bien souvent évoqué au détour des contes de fées, de la mythologie, des coutumes anciennes dans les villages, sans oublier les rituels religieux, et ceux des sociétés secrètes !
Christine Dechartres vous propose un voyage au cœur des symboles pour découvrir ce mystérieux agent « Uni Vert Sel » et le rôle qu’il joue dans le Grand Œuvre !
Mercredi 24 février 2016
Le mandala, symbole du Soi par Elizabeth Leblanc-Coret, psychothérapeute analyste jungienne, relaxothérapeute-analyste, co-fondatrice et directrice de Savoir Psy, auteur de « Le Mandala, miroir de soi » aux éditions Dervy.
Le mandala existe dans toutes les cultures depuis l’aube de l’humanité. Dans sa conception du psychisme, Jung le considère comme symbole de l’archétype du Soi, principe dynamique organisateur de la totalité du psychisme, apparaissant dans des moments de désorganisation, de conflit ou de questionnement.
Qu’il soit de production spontanée (dans les rêves, les expressions de la nature…) ou qu’il soit construit intentionnellement par individu ou un groupe, le mandala, par ses caractéristiques (différenciation, centrage, organisation interne…) rassemble tous les éléments et les harmonise vers un but qui lui donne tout son sens.
Dans le mandala réalisé, tout est symbole, à la fois de la personne ou du groupe qui le produit, mais aussi des divers éléments de son monde intérieur : la forme finale, les couleurs, les motifs… mettant ainsi à jour une symbolique particulière et originale.
Nous verrons, à travers plusieurs exemples, en quoi les symboliques individuelles sont l’expression d’une symbolique universelle que Jung a nommé Processus d’Individuation.
des sages, qui fait couler de cette plante seiche et aride en apparence une eau qui ne mouille pas les mains. » Limojon de Saint-Didier